Descente aux enfers - MAXWELL

Quelques jours sont passés depuis la fête d’Halloween et une nouvelle dispute à éclaté avec mon père, ce fut celle de trop. J’ai attendu qu’il s’en aille pour plier mes bagages et je m’en vais de la maison, pleurant, me disant qu’il n’a pas le droit d’être si cruel avec moi. Je suis si bouleversée que je suis prise d’une véritable douleur, mélangé à une crise d’angoisse, je vais quand même voir le médecin au cas ou, mais ce qui s’en suit était inattendu. J’ignore pourquoi mais je me retrouve avec mes affaires devant chez les maxwell, les yeux gonflés des larmes coulé depuis ma discute. Je reste ainsi debout bien 10min immobile, comme en hypnose avant de me décider à sonner à la porte du couple de ma vie, comme une pauvre démuni qui vient de s’enfuir de chez elle.

Le piteux état dans lequel je suis est vraiment incontrôlable, j’ai déjà moins de larme que quand je suis partie de chez moi. C’est sans vraiment savoir pourquoi et comment j’ai réussi à arriver ici mais voilà, je suis devant Isis, pleurant encore un peu, en quelques secondes ma valise est à l’intérieur et je me retrouve dans les bras d’Isis ou toutes mes forces m’abandonne et je fonds totalement en larme, m’accrochant à elle airs que Peter arrive à son tour, je ne peux me retenir de me blottir entre les deux avant d’oser leur avouer ce qui n’allait pas.
« Je….Je me suis encore disputé avec mon père…Il…il n’est pas pour notre couple…Il dit qu’il a honte et que je l’ai trahi en vous aimant…Je ne veux plus y retourner…je ne veux plus le voir… »

Je me retrouve rapidement dans les bras des deux personnes que j’aime par-dessus tout, en dehors de mes papas, tout le monde qui me connait, sait que mes pères sont toute ma vie, même ma mère que je connais que depuis peu à une immense place dans ma vie. Après tout, je suis italienne par Angelo ce qui fait que j’ai un sens de la famille très développé, sans elle, je ne suis rien.
Je leur annonce alors ce qui s’est passé entre deux vagues de larmes, blottit contre leur deux corps, on voit combien cette dispute m’affecte car malgré le faite qu’à cet instant, mon père, je le hais tout bonnement, sous la colère bien sur, je l’aime tout autant car c’est mon papa et qu’il est dur pour moi de me dire qu’il refuse d’être content de mon bonheur.
Après de longues minutes de larmes je me calme enfin alors que Peter me fait une proposition qui me fait les regarder tous les deux l’un après l’autre. Comme toujours malgré notre couple a trois, je crains toujours de les déranger. C’est donc ainsi que doucement je dis, baissant un peu les yeux.
« Je..C’est d’accord…seulement si cela ne vous dérange vraiment pas..je…je ne veux pas vous gêner dans votre intimité de couple…. »

Je les regarde presque comme une petite biche épleurée alors qu’ils me disent de laisser passer. Pour l’instant je reste sagement contre eux, mes larmes s’étant apaisées doucement sous leur caresses douces.

Alors que je leur fais part de mes craintes, Isis me rassure tout de suite en me disant que je serais toujours chez moi ici et que je ne les dérangerai pas pour le moins du monde. Puis Isis m’embrasse ce qui a le don de m’apaiser encore d’avantage, je ne peux que prolonger le baiser. Les baisers des Maxwells sont les meilleurs médicaments comme la tristesse pour moi. Jamais encore je n’ai eu des baisers qui me faisait autant d’effet que les Maxwells, je me blottis tout contre Isis. Alors que Peter en rajoute une couche mais cela me fait même esquisser un petit sourire. Il m’embrasse le front et sans me décoller d’Isis, je descends son visage pour l’embrasser doucement et leur murmure à tous les deux.
« Je vous aimes tellement…jamais je n’ai été si amoureuse de personnes… »

Puis Peter propose de nous apporter quelque chose à boire, je repose ma tête sur l’épaule d’Isis et je réponds doucement à Peter.
« Il y aurait un peu de jus de fruit ? »