Je crois que je repasserai plus tard...||ISIS

La soirée d’ouverture fut un vrai succès, j’étais heureuse car mes pères étaient là à mon plus grand étonnement, j’ai même remarqué qu’ils étaient assez complices avec ma patronne mais je n’ai pas vraiment fait attention, la soirée s’est passée si rapidement pour moi entre les chansons, les préparations d’une chanson à l’autre car oui moi j’ai voulu faire un vrai show pour chaque chanson et j’espère avoir réussi comme il fallait.
Aujourd’hui je n’ai absolument rien à faire alors je traine dans ma villa mais je me sens si seule, mes pères sont déjà reparti, je me pose dans le canapé avant de remarquer sur une chaise la robe que j’ai emprunté à Peter l’autre soir, mon genoux est guéri ou presque j’ai encore quelques traces que je méticuleusement caché au club pour ne pas qu’on me pose des questions.
Je m’habille rapidement de mon style rock habituelle, je me coiffe, je me maquille et je quitte l’immense villa de la famille avant de prendre un taxi jusqu’à la villa de Peter, m’ayant laisser son adresse pour que je revienne quand je le désire. J’arrive devant la porte, la robe soigneusement pliée dans une boite afin de la rendre dans un état impeccable. Je me présente devant la porte et je sonne, ne pensant pas une seconde tomber sur sa femme. Mais cela tarde à ouvrir, je tocque alors à la porte.
« Peter ! c’est Léo, je te rapporte la robe sur tu m’as passé l’autre nuit »

Alors que je m’attends à voir le mari débouler, c’est ma patronne en mode joggeuse que je vois arriver, j’avoue qu’à cet instant je suis a deux doigts de lui donner la boîte et de partir en courant tellement j’ai honte de me retrouver en face d’elle en devant justifier le pourquoi j’ai une de ses robes. En faite celle robe j’ai réussi a la mettre grâce à son coté un peu ample allant a toutes les morphologie. Malgré ma minceur, c’est compensé par de belles formes de femmes que je mets en valeur avec des haut rock voir carrément des corsets, ce dont Peter à du faire face après l’agression, lui retirer cette torture qu’est le corset.
Ma patronne est toute souriante, malgré qu’elle ne soit pas aussi en valeur qu’à mon habitude puisque je ne la vois qu’en mode patronne du club. Je bredouille un peu devant Isis, essayant de trouver les mots sans m’enfoncer encore plus dans le ridicule.
« Oh…ce n’est pas grave….je…je ne veux pas vous déranger, je repasserais quand il sera là peut-être… »

Je me mordille la lèvre, ce que je me sens ridicule, je dirais même, pire que ridicule, je suis là plantée comme une potiche devant elle, la boîte en main, très gênée par la situation craignant qu’elle croit des choses, que voulez vous, je n’ai pas encore percuter l’échangisme du couple et de tout leur univers, en bref.

J’ai à cet instant qu’une envie, partir loin en courant tellement je suis gênée par la situation. Si je m’attendais à cela, à cette seconde je me maudis de ne pas avoir passé un coup de tel juste avant puisque j’ai le numéro de Peter et qu’il a le mien, puisque je l’ai rentré moi-même dans son téléphone lorsqu’il m’a accueilli ici la nuit de mon agression, j’ignore s’il a mit au courant Isis de ce qui m’est arrivé, mais n’y pensons pas. Elle me dit qu’elle n’est pas fâchée et la suite de ses propos me font un peu rougir et me mordiller la lèvre, je me rappelle encore de Peter qui me complimentait dedans le soir où je l’ai emprunté, encore roulée dans ma serviette à ce moment là. Je vais pour lui donner la boite et m’en aller mais elle m’invite, je ne peux pas dire non à ma patronne, non c’est au dessus de mes forces, j’entre alors timidement dans cette maison que j’ai foulé avec rire et amusement en compagnie de Peter, elle me laisse seule l’espace d’un moment en m’invitant a m’instaler.
Chose que je fais, m’avançant dans la villa, allant jusqu’à l’immense salon et je m’installe timidement sur le canapé, mon regard sur pose sur le piano, je ne peux me retenir de sourire en me rappelant la chanson que j’ai chanté à Peter, il était si gentil avec moi, nous avons tellement parler ensemble de tout de rien, de ma vie, de la sienne, de mon cœur, du sien…etc. Mais je suis sortie de mes songes par la voix de ma patronne, elle est installée vers moi, je souris doucement, la boitée posée sur la table, les mains jointes et quasi enfoncé dans le tissu de mon jupon de robe comme une petite fille timide.
« Non madame, je…je pensais alors cela est passé très vite… »

Le temps de la douche de ma patronne, je suis restée assise sur le canapé à regarder de loin de piano et à me souvenir tout ce qui a bien pu se passer dans ce salon le jour de mon quasi viol dans cette ruelle, j’ignore si Peter s’est confié à sa femme sur cette nuit là qui fut un vrai traumatisme pour moi-même si je ne le montrais pas vraiment. A certain moment j’y repense encore un peu, mais de là je me rappelle ce que Peter m’a dit et j’en oublie tout.
Isis revient enfin alors que je suis dans mes pensées. Mon regard se pose sur elle en reprenant une position un peu moins avachie dans le canapé comme on pourrait donner la façon dont je me tenais. Mon regard est tout de suite attiré par la robe et les formes qu’elle dessine, il faut avouer que mes joues ont du viré au rouge vif malgré tous mes efforts pour le dissimulé car il faut avouer, qu’elle ne m’a jamais laisser indifférente, j’en ai même parlé avec Peter en lui disant que sa femme était le genre de femme qui pourrait me plaire, le genre dominatrice, alors que moi je suis un vrai fauve.
Je la rassure sur le temps qu’elle a mit et je me mords la lèvre, priant pour que le rouge de mes joues ne sois pas flagrant, maudit soit mon corps qui réagit contre l’étique. Je détourne le regard d’elle, me rendant compte que depuis un certain temps j’étais entrain de la fixer, enfin la fixer c’est un bien petit mot, plutôt la détaillé dans les moindres recoins. Mes yeux se sont posés sur mes mains l’espace de quelques minutes jusqu’à que le thé arrive où je m’oblige par politesse à la regarder de nouveau mais mon regard est de nouveau attiré par cette robe qui la met tellement en valeur. Je ne peux que bredouiller en me mettant au bord du sofa pour tendre mes mains et prendre lentement ma tasse en la remerciant, frôlant sa main involontairement. Je me mords de nouveau la lèvre et ramène lentement a tasse vers moi.
« Hum…Mer…merci Madame Maxwell pour le thé…Hum je.. »

N’arrivant plus à aligner deux mots sans bafouiller, je préfère cesser de me ridiculisé et enfouie mes lèvres dans la chaleur de la tasse prenant une grande gorgée de thé. Avant de me pencher lentement de nouveau en avant pour poser la tasse sur la table basse, lorsque je relève les yeux, mon regard est au niveau de ses genoux, je me redresse lentement, mordant l’intérieur de ma lèvre, priant pour qu’elle ne m’ai pas grillé.

Pour me faire de l’effet, elle me fait de l’effet, jamais je ne me suis sentie ainsi avec quelqu’un, et pourtant il y a quelques années les aventures s’enchainaient à tour de bras, quasiment une différente par soir mais je me suis rapidement lassé de ses amourette d’un soir qui ne me menait à rien, depuis je calme mes pulsions dans la musique mais avec Isis, c’est différents, mes pulsions sont plus forte que tout mais je me bats car elle est marié et mon principe veut qu’on ne touche pas aux femmes prises. Elle me réprimande en me disant de l’appeler Isis elle me le répète quasiment chaque jour mais je n’y arrive pas. Car si je prononce son prénom, mon corps réagira tout de suite, rien que la pensée de sa personne me rend quasi folle.
« Je vais essayer…ma…mada…I…Isis »

Son nom était sorti presque dans un souffle alors que je m’enfouie dans ma chaleur de ma tasse. Je la sens s’asseoir à coté de moi, je deviens de plus en plus fébrile, je pose poser mon regard sur elle, de peur de faire une bêtise mais malgré tous mes efforts, on dirait qu’elle essaye de me pousser à la faute. Ma tête dit non mais mon corps réagit à chacun de ses gestes, elle doit le voir clairement à travers mes vêtements. Mais elle parle de ma tenue, je ne peux résister à poser mes grands yeux bleus sur elle.
« C’est ridicule comparer à cette très jolie robe que vous portez..Vous…vous êtes absolument divine dedans…une vraie déesse… »

Isis me pousse a bout de mes retranchement personnels. Sa présence auprès de moi me fait trembler l’échine jusqu’au plus profond de mon corps. Je dois tenir ce que j’ai en même de toutes mes forces pour ne pas manquer de lui sauter dessus en cédant mais Isis ne m’aide en rien, elle me fixe chaudement, elle touche mes cheveux et mon visage pour remettre une mèche en arrière. Elle me torture, elle se joue de moi jusqu’à l’usure ma décence ne tient qu’à un fil à présent, encore une tentation et je cèderais à jamais au désir qu’elle me procure, un désir si puissant.
Alors que je complimente sa robe, elle explose et en l’espace de quelques secondes je me retrouve allongée sur le canapé, je résiste encore un petit peu, je tremble, non de peur mais d’un désir si féroce, mon corps est au bord de l’implosion, je me sens partir lorsque j’entends sa voix rauque au creux de mon oreille. Je ne peux revenir un soupire à la seconde où elle m’embrasse. Mon désir explose, mais je me freine en restant parfaitement immobile en dehors de mes lèvres qui déguste chaque seconde ses lèvres sur les miennes. Je la sens poser une de mes mains sur sa hanche et l’une des siennes sur ma cuisse alors que nos autres sont enlacé.
S’en est trop, je cède la dernière limite qui m’empêchait de plonger dans la tentation. Elle embrasse mon cou et enfin ma gorge se délaie pour y échapper un soupir, alors que ses lèvres dévores doucement mon cou. Que dis-je, un soupir, un frémissement, presque un gémissement sourd tellement son corps au dessus du mien et sa main sur ma cuisse me procure tant de sensation. Une partie de moi voulu la repousser, elle est marié, je connais son mari qui est presque un père pour moi, mais mon corps cessa de réfléchir et ma main normalement posé sur sa hanche descend en s’enroulant autour de sa taille et je la serre contre moi, cédant à l’invitation de son corps contre le mien.
« Isis… »

Ce fut la seule chose que ma bouche a pu prononcé entre deux soupirs, ma cuisse frémit, comme pour grogner de son immobilité. Ce fut comme une plainte de frustration qui s’échappa de mes lèvres, je me mets a caresser son bassin quasiment du mien, comme un appel timide aux découvertes que nos corps désirent.

Le corps d’Isis contre le mien me fait totalement vibrer, je n’imaginais pas que je retrouver dans cette situation engendrerai autant de sensation forte dans tout mon échine, je tremble et frémis à chaque geste d’Isis sur moi, à chaque baiser. Puis elle me demande si elle va trop vite pour moi, je secoue lentement la tête sans lâcher son regard avant de lui montrer que je ne veux pas qu’elle cesse en me mettant à la caresser par-dessus la robe. Gardant mon regarde dans le sien jusqu’à frémir sous ses caresses, lui offrant mon corps encore tout habillé, quand je sens sa main passer sous ma jupe, je peux me retenir de me courber un peu sous les papillons au ventre qu’elle me procure.
Je la vois retirer sa robe, et mon regard se pose tout de suis sur son magnifique décolleté qui me fait toujours envie, depuis que je la connais, ses seins sont une des merveilles du monde, dès que j’y pense, mon corps réagit au quart de tour peu importe ou je suis. Béni sois le faite d’être une femme pour que nos réactions de désir sois moins voyante que l’érection des hommes. Je ne peux me retenir de me rincer généreusement l’œil dans son sous-vêtement, rien que de les voir de près me rend encore plus folle de désir alors qu’elle m’avoue en avoir envie depuis si longtemps. Je réponds au baiser avant de la regarder droit dans les yeux et l’une de mes mains viens caresser le tissus couvrant l’un de ses généreux seins, allant lentement frotter mon pouce contre le mont que son excitation à créer en dessous du tissu et je viens murmurer lentement.
« Je le désire si fort depuis si longtemps moi aussi…J’ai tant rêver de tes mains sur moi, de tes baisers me rendant folle. Je suis toute à toi Isis… »

Pour lui prouver, je la bascule doucement sur le canapé pour retirer mes vêtements, ne gardant que mes bas en résille, et mes sous-vêtements. Je me retrouve au dessus d’elle, je la regarde dans les yeux, déjà folle de désir, mon cerveau ne réfléchis plus, mon corps parle pour elle et je lui murmure d’une voix rauque.
« Je t’en supplie Isis…occupe toi de moi…j’ai attendu ce moment tellement longtemps que je ne peux plus attendre… »

La simple écoute de sa voix à le don de me faire tout de suite réagir, je suis toute excité, je n’ai qu’une seule envie, qu’elle me donne ce dont j’ai envie, qu’elle m’offre un moment des plus extraordinaire, j’ai envie d’elle, tellement envie d’elle, je suis tellement excité que mes sous-vêtements doivent en souffrir. Elle me promet des monts et merveille et j’adore ca, je la fixe, je la caresse je l’embrasse, je soupire sous ses doigts, les choses sérieuse vont enfin pouvoir commencer. Je souris doucement quand elle me propose qu’on monte. Je la suite jusqu’à la chambre, habillée que de nos sous vêtement, je me retrouve de nouveau allongée sur le lit, mais cette fois, elle est a coté de moi, je me mets sur le coté pour pouvoir la voir totalement et j’entends son compliment qui me fait sourire. Je caresse le tissu qui la couvre lentement en lui disant langoureusement.
« Tu l’es encore mille fois plus que moi dans les tiens… »

Je ne peux résister encore longtemps, je réponds à son baiser en posant ma main sur ses reins et je la rapproche de moi pour que nos deux corps sois quasiment collé, laissant juste l’espace de ma main entre nos deux corps qui parcours chaque centimètre, je la regarde droit dans les yeux puis je commence à déposer des baisers dans son cou avant de suivre la bretelle pour descendre tout doucement le long de son décolleté et ma main se pose doucement sur le tissu couvrant l’un de ses seins et mon pouce vient frotter lentement la pointe tendu très visible. Je prenais les devant car le désir était bien trop fort.

Nos corps sont l’un contre l’autre, on s’embrasse, on se dit des mots doux, on se caresse, on se fait soupirer et j’adore ca. Je n’ai qu’une hâte que les choses sérieuses commencent enfin, que je puisse me délecter du plaisir que je rêve tant de recevoir de sa part. J’en suis déjà toute excité mes sous-vêtement en souffre sous son corps. Elle me dit que pour elle je suis parfaite, je souris et prolonge son baiser avant de la regarder s’attacher les cheveux, pendant ce temps j’en profite pour la caresser, caressant la galbe de ses seins encore tenu par le sous-vêtements pour la force de ses hanches généreusements avant qu’elle ne revienne au dessus de moi me faisant basculer et elle me dit de ne pas avoir peur de lui dire si ca ne va pas. Je souris pour cette attente envers moi, je relève doucement son visage pour l’embrasser et lui dire.
« Rien venant de toi ne pourra me déplaire, j’ai tant rêve que tu t’occupes de moi ainsi… »

Je lui souris doucement avant de l’embrasser de nouveau et je m’allonge de nouveau sur le lit la laissant embrasse mon épaule et retirer ma bretelle, je l’aide et retirant mon bras de la bretelle, faisant doucement glisser le tissu vers le bas, découvrant lentement l’un de mes petits seins de jeune femme. Je caresse ses cheveux, sa nuque et le haut de son dos en échappant un soupire.