Moi saoûle ? Non, juste un peu - PETER

La nuit s’annonce très mal. Depuis quelques jours j’ai fais la rencontre de ma maman, tout s’est passé si bien, pourtant d’un coup je me suis sentie si désorienté d’un petit coktail m’attirait. J’en bu un, puis deux, puis trois puis une infinité faisant de moi un être totalement ivre, je n’avais plus conscience de ce qui était vrai ou de ce qui était dans ma tête. Je suis restée avachie de longues heures sur le comptoir jusqu’à la fermeture à 3h du matin ou le patron sans scrupule me fiche dehors. C’est ainsi que je déambule dans les rues de Manhattan totalement torchée, je tiens à peine debout, je vomis à chaque ruelle, sauf que près de l’une d’elle il y avait une patrouille de police, sans hésitation ils me menottent, et m’embarque au poste pour état d’ébriété sur la voie publique.
Malgré que je me débatte ils me mettent rapidement en voiture, au bout de cinq minute de route je repeint la voiture d’une couleur intestin avec l’odeur qui allait avec, heureusement nous étions pas loin du poste. Ils me sortent un peu brusquement de la voiture et me font entrer dans le poste et me mette dans une salle toute seule.
Les deux policiers retournent dans les bureaux en sentant très très mauvais, gardant l’odeur du vomi que j’avais largué dans la voiture. L’un deux se pose devant un inspecteur et lui dit « Encore une gosse de riche qui ne sait pas boire, nan mais tu te rends compte cette gamine a tout lâcher en voiture, on pue comme pas possible ! Dommage elle était jolie pourtant avec ses mèches de couleurs »

Dans ma petite salle toute seule j’étais dans un coin après avoir repeint l’autre coin de la pièce dns une dernière nausée répugnante, j’étais vraiment dans un sale état, en même temps vu le nombre de cocktail que je me suis avalée en l’espace de quelques heures sachant que je décuve depuis le bar étant déjà dans un état assez catastrophique. Souffrant de vertige et de maux de tête terrible je me suis mise dans le coin de la pièce et j’ai caché mon visage pâle et suant sous la chaleur et mon état d’ébriété. J’entends la voix de Peter, je relève la tête et sourit de toutes mes dents en le voyant, je voulu me lever pour aller vers lui mais j’en avais oublié que je tenais à peine debout, je me traine jusqu’à lui et je me mets debout en tirant sur ses vêtements avant de basculer en avant me retrouvant accrocher à sa veste, mes jambes ne me portant a peine, tenant seulement par le faite que Peter est là et que je m’accroche à lui.
« Mon Peteeer, viieeens on va faiiire la tête tous les deux !! »

Je veux me reculer de lui mais je bascule en arrière donc je me rattrape de toutes mes forces à sa chemise me tirant vers lui pour ne pas tomber et je me mets a rire aux éclatant, manquant une nouvelle fois de partir en arrière.

Quand Peter me soulève, je crie comme une enfant sur un manège en riant de bon cœur et levant le poing haut en l’air. Oui je suis totalement torché, et alors ? rapidement je me retrouve dans la douche et je laisse faire Peter, l’eau chaude sur ma peau nue fait effet somnifère car je commence limite à somnoler dans la douche, non rectification, je sombre dans une petite sieste, le sourire au lèvres le temps qu’il me lave, enfin c’était étrange car à la fois je dormais mais à la fois je sentais tout ce qu’il me faisait de façon lointaine. Ce n’est que lorsqu’il parle que mes yeux se rouvre vraiment et je lui souris comme une petite fille totalement adorable en hochant la tête.
« J’avais oublié combien tu sais gentil Peterou. Tout doux aussi comme un gros nounours…Comme quand maman m’a prise dans ses bras dans le bar…plein de câlin…J’aime les calins »

Oui je suis encore un peu soule mais un peu plus lucide et je viens de lui donner la raison de mon état, j’ai enfin revu et parler à ma maman et en amont de la rencontre, mes nerfs ont lâché faisant que j’ai enfilé les cocktails dans ce bar pour oublier mes doutes, pour oublier que je suis une pauvre fille pommée de la vie.

Rencontrer enfin ma maman et me rendre compte qu’elle avait une merveilleuse famille qui ne me connaissent même pas, m’a fait sentir une sorte de sensation assez étrange, je me suis senti si misérable, aller savoir pourquoi, j’étais si perdue, j’avais l’impression que tout s’effondrait autour de moi alors que j’ai toujours désirer la connaitre, je ne sais pas, surement la faiblesse humaine on va dire, c’est toujours assez dur de voir sa vie chamboulée si brusquement. Je fais ce qu’il me dit, enfilant mon boxer et je le suis jusqu’aux vestiaires, par rapport à tout à l’heure, je tiens déjà débout, bien que je ne marche pas droit du tout et que je m’aide de tout ce qui se trouve autour de moi pour ne pas ceder à mes vertiges. Il me temps une chemise que je prends dans mes mains et je l’écoute me parler, j’hoche doucement la tête avant d’enfiler la chemise, évidemment je flottais dedans et elle m’arrivait aux genoux. Car oui, je suis une petite naine, il y a 20cm d’écart quasiment entre moi et Isis alors imaginer entre moi et Peter.
Une fois prête je le laisse m’emmener dans le bureau, je le suis donc et une fois dans le bureau il s’assois dans un fauteuil de bureau, naturellement je me pose sur ses jambes et me roule en boule contre lui. Cela peut paraitre bizarre mais son contact m’apaise, j’enfouie mon visage contre son cou, étant pas très grande et toute mince, je tiens bien, mon bras s’enroule autour de son cou, ma tête sur son épaule, oui je m’accroche à lui comme a une bouée de sauvetage. Bien moins délurée que tout à l’heure, gardant pour l’instant le silence, blottit contre lui comme une enfant. Attendant de me faire disputer.

Etonnamment, Peter se laisse faire quand je m’assois sur lui et que je me blottis en boule tout contre lui comme la petite fille que je suis redevenue en retrouvant cette maman que je ne connais qu’à travers les récits de mes papas. J’échappe un soupire d’aise quand il se met à caresser mes cheveux, je me sens bien avec Peter, c’est vraiment un ami en or, quelqu’un sur lequel je peux m’appuyé et avec qui je peux agir sans réfléchir à ce que les gens peuvent passer, et je sais que lui n’aura jamais un geste déplacé sur moi tant que je ne lui donnerai pas d’accord. J’ouvre lentement les yeux et je le regarde quand il me dit qu’il ne l’engueulerai pas d’un sens, cela me soulage et je me décide alors à parler sur tout ce qui s’est passé.
« L’autre soir…j’étais au Club, mes papas ont insisté pour que j’y aille me disant que cela me plairait vraiment car c’était assez rock, j’y suis allée et vers la fin de la première partie elle a enfin parlé, elle disait dédié une chanson à un ange, sa voix m’a paru si familière et pour la chanson, ce fut encore pire, c’est comme si elle était ancré en moi avant même que je ne l’entende pour la première fois. Puis elle est allée dans les coulisses, quelque chose en moi m’a poussé à la suivre et on a rapidement comprit qu’elle était ma maman et de là elle m’a parler de ce qu’elle est devenue…j’ai vu sa famille…a la fois j’étais heureuse, j’avais ma maman mais de l’autre, je me sentais une inconnue au milieu de leur immense famille. Depuis je suis perdue, mon monde semble s’être effondré c’est comme si je devais le reconstruire différemment aujourd’hui que j’ai retrouver ma maman.. »

Je lui avoue alors tout ce qui s’est passé et de comment je me suis senti avec cette femme qui est ma maman, je lui confis mes craintes, mes peurs avec la plus grande des libertés. Chose que j’aime particulièrement avec Peter, il est simple et surtout il est toujours de merveilleux conseil, depuis que je le connais, suivre ses conseils étaient les meilleurs choix de ma vie. Je lève les yeux vers lui quand il m’explique sa façon de penser. Je suris à son bisou avant de répondre.
« J’aimerai vraiment avoir la chance de vivre tous les moments que j’ai tant rêvé avec elle, j’aimerai avoir vraiment une maman dans ma vie, et faire partie de la sienne, être vu comme un membre de la famille par la sienne…Je sais que c’est dur mais c’est ce dont j’ai envie…pour de vrai… »

Je le regarde avec ce petit air désemparé mais j’esquisse malgré tout un sourire avant de reposer mon visage dans le creux de son cou et j’échappe un petit rire.
« J’avais tellement peur…j’étais si perdu…j’ai cru qu’un cocktail ne me ferai que du bien…Puis deux, puis trois et je n’ai pas sur m’arrêter…Mais je te promets que c’est la dernière fois… »

Peter avait ce don avec moi de trouver pile les mots qu’il faut, et c’est ainsi que je l’écoute avec beaucoup de sagesse, buvant chacune de ses paroles avec attention et dévouement. Peter a vraiment su quoi dire pour me rassurer, pour m’apaiser, ceci était d’une merveille sans égale, car je sentais en sa présence un aura digne de toute attente d’une jeune adolescente comme moi. Il me dit qu’il faut que je sois patiente c ar ma maman est surement dans une situation très délicate. J’hoche doucement la tête à ses propos et je ferme les yeux quelques instants, histoire de calmer cette migraine l’espace de quelques secondes tout en l’écoutant.
« Je te promets de venir la prochaine fois Peter…là j’étais trop perdu et je ne voulais pas te déranger toi ou ta femme… je sais que je peux être très envahissante par moment… »

Toujours cette crainte de déranger les gens, telle est mon sentiment depuis ma naissance, je m’adapte pour ne pas qu’on me dise que je dérange, quitte a m’isoler totalement, oui je suis ainsi, une vraie solitaire par pur dépit. Je souris tout doucement en hochant la tête à sa demande, je lève les yeux vers lui et je lui dis.
« Oui…un peu…je…je te remercie du fond du cœur Peter…Pitié…ne dis rien à mes papas… »

Je l’écoute avec toute l’attention disponible dans mon cerveau encore embrumer d’alcool même si à présent je suis lucide et que je sais ce que je dis même si ce n’est pas sur que je m’en rappelle une fois la gueule de bois passé. Il m’explique que je suis toujours la bienvenue chez eux, chose qui me fit très chaud au cœur. C’est quelque chose que je n’oublierai pas, Peter se montre être un maillon important de ma vie, cela fait deux fois qu’il me sort d’une misère dans laquelle je me suis fourrée jusqu’au cou, en premier mon agression où il a fait fuir et s’est occupé de moi, et là, de nouveau il s’occupe de moi, me parle, me rassure et surtout évite que j’ai un nouveau souci. Cela fait qu’il est important, c’est un ami très précieux. Je rougis un peu au sujet du caractère, si seulement il pouvait s’imaginer l’effet que le caractère de sa femme peut me faire. C’est monstre. Mais je fini par sourire.
« J’ai de la chance d’avoir pu vous connaitre, je crois que sans vous deux je ne serai pas grand-chose, toi tu me sauves la vie constamment et tu sais quoi me dire quand je ne vais pas bien et Isis, elle me donne une chance de briller en me donnant cette place au club. Vous êtes mes héros. »

Je le regarde dans les yeux également et il m’explique ce qu’il va faire, décidément, Peter est vraiment un homme merveilleux. Je me lève tout doucement pour ne pas tomber et je chercher mon téléphone, lui demandant d’attendre deux petits minutes. Je passe un premier appelle à une fille, lui demandant si elle peut m’hébergé deux jours car je suis totalement saoule, que j’ai fini au commissariat et qu’il est hors de question que mes papas me voyent dans cette état et surtout au réveil avec la gueule de bois. Evidemment mon amie accepte. De là je passe un second appel. Tombant sur le répondeur de mes papas.
« Allo papa c’est Léo, j’appelle juste pour prévenir que cette nuit et la nuit prochaine je suis chez une amie. Je viendrais après demain au club on pourra s’y retrouver. Je vous aimes très très fort tous les deux. Bisous »

Je raccroche et je ferme le téléphone dans mon sac à dos avant de me retourner tout doucement vers Peter.
« J’aimerai rester ici encore un peu avec toi, après si tu en as toujours envie tu pourrais m’amener chez mon amie ? Par contre c’est un peu loin, elle vit de l’autre coté de New York… »

Je suis vraiment touchée par ses propos, savoir que j’ai aussi d’importance pour des gens comme les Maxwell qui me sauvent la vie à longueur de jour, cela me fait vraiment du bien, car ainsi je sais que quand mes papas sont pas là voir même quand ils sont là, j’ai une autre famille chez qui me réfugié quand le sujet de mes tourment est une chose que je veux éviter à mes parents. Je ne peux me retenir de lui faire un gros bisou sur la joue avant de murmurer.
« Merci Peter, plus que tout merci…je ne sais pas ce que je deviendrai si tu n’étais pas là »

J’étais sincère, vraiment, car sans sa femme et lui, je n’en serai pas là, sans eux je n’aurai pas un travail fixe, sans eux enfin surtout peter, je serai en prison et traumatisée par un viol. Je leur dois tout on dirait et j’aime cela. Je lui annonce après quelques minutes mes plans et il me rassure et ses propos me font rire et je lance sur la plaisanterie, l’air faussement choquée.
« Dis toute suite que je ne suis pas belle dans ta grande chemise ! »

Je fais une moue sévère, pas du tout crédible car quand je m’énerve, je ne fais pas cette tête de boudin que je suis entrain de faire, les poings les hanches, moi-même je ne peux me retenir d’exploser de rire et je reviens m’asseoir sur les genoux de Peter, sans m’y rouler en boule cette fois.
« Non ne t’inquiète pas, tu as fais ce qu’il fallait, je crois que si tu m’avais laissé seule, je me serai tué en tombant ou noyé sous la douche tellement j’étais torché, et avoue que tu aimes me déshabillé Peter, petit coquin va ! »

Non cela ne me dérange en aucun cas de plaisanté ainsi avec lui, car comme vous le savez autant que moi, je sais que Peter ne me fera jamais rien et que toute les bêtises que l’on peu sortir ne sont que plaisanterie et taquinerie. Donc j’ai confiance et je me permets de le taquiner.

Il me dit qu’il me taquinait, je le savais bien qu’il me taquinait puisque je le taquinais moi aussi. Je ris avec lui alors qu’il me rappelle que nos deux entrevue a fait que j’étais en fin de rendez quasiment toute nue vers lui. J’explose de rire de bon cœur avant de lui lancer avec malice et amusement.
« Attention, je pourrais venir te voir toute nue la prochaine choix comme ca mes vêtements ne souffriront pas ! »

Oui je suis comme ca, une jeune femme très malicieuse quand elle le veut et là je le veux. Il m’explique qu’il n’a pas osé nettoyer précisément ce qui m’est intime. Je souris avec doucement et je pose mon visage contre son épaule.
« Tu aurais pu, j’ai confiance en toi, la prochaine fois, sache que tu peux me laver comme bon te semble je sais que tu ne me feras jamais rien. Tu es vraiment quelqu’un de bien. »

Je souris avant de réfléchir et de finalement trouver un sujet de conversation.
« J’ai un peu avancé sur la chanson que tu m’as demandé d’écrire j’ai été très inspiré, mais elle n’est pas fini, mais je pense que tu vas l’adorer ! »

Je ris de bon cœur face à toutes nos conneries, mais d’un coté il n’a pas tord, ce serait bien dommage en effet que je finisse vraiment en prison pour non respect de la pudeur en public, décidément j’ai l’impression de ne pas avoir à parler pour qu’on soit tous les deux dans un même délire, cela me fait vraiment plaisir. Je lui lance alors sur un ton plaisantin et taquin.
« Oh ce n’est pas grave, je suis sûre que je serai l’attraction du commissariat au moins ainsi, je servirais à quelque chose ! »

Je me mets à rire en cachant mon visage dans le creux de son cou et je ferme les yeux l’espace de quelques secondes pour calmer un vertige montrant mon état de décuve de l’alcool. Je souris face à ses propos, il est adorable à agir ainsi je trouve. Je ne réponds rien mais je dépose un bisou sur son cou, ayant la flemme de redresser le visage pour arriver à son visage et je me met à rire comme une petite diablesse, enfin presque quand il m’avoue avoir repeint ses collègues, je lance un « bien fait » en riant avant de parler sérieusement de la chanson.
« Bien évidemment, tu seras le premier au courant de tout cela. Ta femme sera vraiment gâtée pour sa saint valentin. »

J’écoute son petit conseil qui autant le dire clairement me fait rire de bon cœur, mais vraiment de bon cœur, jamais je n’ai ris autant avec quelqu’un en si peu de temps ensemble, il me fait rire, je le fais rire, que demande le peuple hein ? j’ai trouvé un ami à la hauteur de mon cerveau totalement déluré.
« Nan t’as raison, je ne le ferai pas, de toute, je n’ai pas les colonaises pour le faire. Je suis une vraie poule mouillée ! »

Je lui adresse un grand sourire tout a fait innocent avant de partir sur le sujet de conversation qui est la chanson que je vais écrire pour sa femme, et c’est un vrai plaisir de faire ce cadeaux à deux personnes qui m’ont beaucoup aidé ses derniers temps, il est normal que je leur rende tout ce qu’ils m’ont donné. Je souris à ses propos jusqu’à sentir ses doigts sous mon menton, je ne résiste pas a son geste et je laisse alors mon visage se relever et mon regard bleu se plongé dans le sien. Je souris.
« Tu as raison, je suis merveilleusement bien installé, j’ai trouvé un modèle de siège tout confort »

Peter est vraiment quelqu’un de bien dès le premier instant je l’ai apprécié, il a su tout de suite me mettre en confiance, c’est un peu mon héro tout bonnement, mais ne revenons pas sur le passé, d’un sujet à un autre, on rit de bon cœur, on se taquine, on se cherche, on s’amuse tout simplement. Je le regarde alors dans les yeux et souris quand il m’avoue, enfin avouer on se le dit depuis qu’on se connait, qu’il m’apprécie vraiment. Je pose ma main sur sa joue doucement.
« Moi aussi je t’apprécie vraiment »

La sincérité était un pilier de notre amitié lui et moi depuis le début, on a jamais mentis à l’autre, on a toujours dis la vérité même la plus embarrassante en face. Justement il me pose cette question, je réfléchis afin de savoir ce que j’en pense réellement, car je ne veux pas lui répondre quelque chose à la va vite. Non merci. Je fini par sourire.
« Non, pas plus que cela, je pense que si ca avait été un autre garçon ca ne serait jamais arrivé que je sois si proche. Avec toi, je me sens comme avec mes papas, en sécurité, je sais que je n’ai pas à cacher qui je suis, je sais que quoi que je fasse, tu seras là et que je peux tout te dire sans complexe. Les autres garçons…ils ne pensent qu’à me mettre dans leur lit »

Je lui parle encore une fois avec toute ma sincérité. Avec mes papas, il n’y a rien qui nous gêne. Petite j’étais capable d’entrer dans leur chambre à tout moment, aujourd’hui encore, je suis très tactile avec eux, je les smack naturellement et je sais que parfois ca peux surprendre mais nous sommes une famille si fusionnelle et c’est un petit tic d’enfant, toutes les petites filles aiment tellement leur maman et leur papa que dans les trois premières années la plus part des bisous sont des smack, moi c’est resté, sans aucune ambiguité, c’est notre bise simplement. C’est surtout le coté russe de mon papa qui fait que se dire bonjour avec un smack c’est naturel mais seulement avec ceux dont je suis méga proche, au jour d’aujourd’hui, il n’y a que mes papas.