Ne m'en veux pas.. -- PETER

Il y a quelques jours, j’ai ramener la robe emprunté lors de mon agression, j’ai mis du temps a la ramener car il y a eu tellement de chose dans ma vie me prenant tout mon temps. Je dois rendre encore la chemise de Peter mais au moment de la robe, elle n’était pas encore propre. Depuis ce jour là, je me sens mal, très mal, envers l’un des amis les plus importants de ma vie. Peter. Comment lui dire que j’ai pris mon pied avec sa femme…Comment lui dire que j’ai trahi sa confiance en montant avec sa femme dans le paradis du septième ciel dans un fougueux moment, comment lui dire que sa femme me rend fou de désir et que lorsqu’elle m’approche je perds tous mes moyens. Comment lui dire tout simplement que je suis quelqu’un de mauvais d’oser faire ca avec son épouse.
Depuis ce jour là, je fuis Peter, je fuis Isis, je fuis ma tante, je fuis mes pères, je m’enfouie dans un monde parallèle à ma vie. Tous les concerné on du remarqué mes tourments dont je n’ai jamais voulu parlé. Aujourd’hui, je me suis rendue toute seule dans le jacuzzi, je m’installe en trikini que mon papa m’a offert en avant première. Je me suis glissée dans le bain a bulle et lentement je me suis laissée glisser sous l’eau le long de la paroi, aller sous l’eau quelques secondes me permets de me vider la tête. Les bulles sur mon visage me relaxe mais lorsque j’ouvre les yeux je vois une silhouette au dessus de moi, je me remets comme il faut, plaquant de mes mains mes cheveux en arrière. Peter était là en face moi, prêt à entrer, d’un coup, mon ventre se noue, mon visage se ferme par cette culpabilité que je tente de fuir mais qui pourtant est là. Je bafouille par surprise.
« Pe…Peter…qu’est…qu’est ce que tu fais là… ? »

Je suis choquée de voir Peter ici. Je suis choquée qu’il soit là devant moi comme une fleur, avec son air gentil et tout doux alors que j’ai accomplis la pire trahison en sa personne de mon point de vue. Je me déteste d’avoir fait ca même si cela fut l’instant le plus incroyable de ma vie, jamais je n’ai eu autant de plaisir qu’entre les mains d’Isis, jamais je n’ai désiré quelqu’un aussi fort qu’elle. Et maintenant je me retrouve face à cet homme qui est le sien, qui me porte tant d’attention alors que moi, j’ai lâchement couché avec sa femme, bafouant son honneur et notre amitié.
Il entre, je me recule un peu pour lui laisser de la place mais contrairement à d’habitude, je ne le regarde pas, au contraire, je fuis son regard, je fuis son contact. Il me demande ce lui parler car il a comprit que quelque chose n’allait pas. Je ferme les yeux, le visage à l’opposé de lui, retenant mes larmes de toutes mes forces mais lorsqu’il pose sa main sur ma joue et qu’il me dit que je ne le décevrais jamais, ce fut la goûte d’eau et j’éclate en sanglot en baissant la tête, laissant de grosses larmes couler le long de mes joues et lentement je lève mes yeux en larmes vers lui avant d’essayer de lui dire dans ma crise de larme.
« Je…je suis désolée Peter…je…je…je ne voulais pas te trahir…Je suis aller ramener la robe…je pensais tomber sur toi…Elle était si belle…si attirante…je te jure que je me suis battu de toutes mes forces pour ne pas céder mais elle m’a allongé sur le canapé…j’ai cédé…Pardon Peter…je t’en supplie pardonne moi…Par pitié…pardonne moi..Je…je m’en veux tellement… »

Alors que je suis carrément fondu en larme, lui disant mainte et mainte fois combien je suis désolée, lui disant encore et encore que je m’en veux, mais lui, il semble soulager, je ne comprends pas pourquoi, je lui dis que moi, une personne qu’il apprécie quasiment comme une fille vient de se taper avec passion sa femme et lui il est soulagé. Je ne comprends pas, je le regarde dans les yeux, mes larmes restant incontrôlable et il m’avoue tout. Je suis frappée de plein fouet par la vérité, me désorientant. Je secoue la tête en sanglotant.
« Non…je…j’en savais rien du tout…disons qu’on a très peu parlé… Elle m’a servie du thé avant de me pousser à la faute… »

Je suis totalement perdu face à ses propos, et ses révélations, cela fait trop d’information choquante en peu de temps. Il vient de m’apprendre que c’est normal dans leur couple que l’autre couche avec n’importe qui. Je n’arrive pas a comprendre comment on peut supporter que sa femme se tape tout ce qui bouge…Je respecte mais je ne comprends pas. Je fini par le regarder dans les yeux avant d’hocher lentement la tête, les yeux encore bien rouge et encore sanglotant.
« Tu…toi aussi…tu…tu fais comme elle…a…avec d’autres… ? »

Je m’attendais en effet à m’en prendre plein la tête, a ce qu’il y ai des cris, des larmes, des insultes, et tout ce que la trahison fait de plus violent quand on s’en rend compte, surtout que c’est un flic et que par conséquent il aurait pu avoir une mauvaise réaction. Ce qui me surprend encore plus c’est qu’il me dit que le faite de savoir qu’elle s’amuse avec moi lui fait plaisir, je ne le comprends pas, je bascule la tête sur le coté comme une petite fille alors qu’il me caresse les cheveux, et me regarde dans les yeux.
« Comment ca…ca te fait plaisir de savoir ca…je…je ne comprends pas… »

Je suis en effet une petite innocente dans le monde de l’échangisme et j’avoue avoir du mal à m’imaginer en couple avec quelqu’un qui couche avec tout ce qui bouge mais peut-être mon ignorance la dessus fait que je ne m’imagine pas, peut être qu’un jour je comprendrais la situation. Il m’explique tout et là je me rends compte que j’avais faux sur toute la ligne. Je lui avoue en baissant la tête.
« Je pensais que le club était fait pour ceux qui veulent juste faire de nouvelle rencontre entre couple…sans forcément imaginer que les rencontre avait cette connotation…je suis bien idiote… »

Oui je me sens bête de réalisé que le monde est plus rude que je ne le croyais, je me rends compte que je suis si innocente que pas une seconde je n’ai pu deviner que ce club offre de drôle de service pour les couples libérée. Oui, je suis un cas social désespéré d’avoir pu croire tout cela. Malgré tout il me smack et contre toute attente, ce smack me fit sourire doucement accompagner de sa main sur mes cheveux mouillé et il m’explique son désir qui me fit chaud au cœur.
« J’avais peur en effet de tout cela…car je tiens tellement a toi et a notre amitié que la perdre aurait été un vrai désastre…je…je me sens bien avec toi…Surtout quand tu me fais tes câlins… »

Il me dit que je suis une femme bien et que je ne peux qu’apporter du bonheur à sa femme, ses propos me font très plaisir, je dirais même qu’ils me donnent du baume au cœur alors que je pleurais il y a pas cinq minutes, il faut avouer que Peter a toujours eu cet effet sur moi, celui de m’apaiser en quelques mots. Je lui esquisse un sourire avant de le regarder dans les yeux.
« Avec ma tante Gaëlle, pas vrai ? Je sais qu’elle est propriétaire aussi, c’est elle qui a parler de moi à ta femme… »

Ce n’est qu’à ce moment que je me rends compte que tout l’univers du club est familiale, ma tante est propriétaire et si j’en crois les propos de Peter, pratique l’échangisme. Mes papas ont financé une grosse partie du club, et viennent toujours ici quand ils sont sur NY. Cela veut dire qu’eux aussi pratique l’échangisme…Et moi pauvre idiote qui pensait avoir une famille normal. Alors que je suis dans mes pensées, il me tend ses bras et je souris, sans hésiter, je me déplace et je me pose contre son torse et naturellement, je pose ma tête dans le coté de son cou et presque de moi-même, je prends ses mains pour que ses bras se referme autour de moi, quémandant sa tendresse quasiment moi-même avant de fermer les yeux quelques secondes pour profiter de l’instant avec lui.
« J’adore quand tu me fais des câlins comme ca, je me sens bien avec toi. »

Il semble surpris quand je lui dis que l’une des propriétaires est ma tante en même temps, elle s’appelle Lucci comme moi, donc cela est logique que ce sois quelqu’un de ma famille. Je le regarde avec un peu d’amusement en hochant lentement la tête mais je préfère ne pas me lancer sur ce terrain glissant qu’est la sexualité de ma douce et tendre tata comme on dit chez moi. Je préfère me concentrer sur ses bras autour de moi, j’en ferme même les yeux et j’échappe un soupir de contentement jusqu'à qu’il me dise qu’il aime être là pour moi. J’ouvre les yeux mais je sens ses bises sur ma joue me poussant à refermer les yeux en souriant, lui offrant ainsi ma joue puis mon oreille.
« Oui oublions Peter…Si tu veux on peut faire un jeu tous les deux pour se changer les idées, hum un action/vérité, cela te conviens ? »

On se rend compte encore une fois je suis toute jeune, et je suis encore joueuse et je sais que Peter me suivra sur cette pente glissante, et je me dis que jouer avec lui sera vraiment plaisant, enfin je l’espère et j’en suis même certaine. J’attends sagement sa réponse, l’une de mes mains emmêler à l’une des siennes, paisiblement lovée contre lui.

Je suis vraiment heureuse quand il accepte qu’on fasse un petit jeu, et puis je connais Peter, je sais qu’avec lui l’amusement est assuré, il est si drôle et jouer avec lui serait un immense bonheur. Il dit oui mais me dit que par contre c’est moi qui commence, j’explose de rire doucement avant de tout de suite de poster la question fatidique.
« Alors, tu préfères avoir une action ou devoir me dire une vérité, et pas droit de mentir, si tu refuses de répondre tu as un gage ! »

Moi démoniaque ? Pas du tout, juste très diabolique sur les bords, sérieusement, je sens qu’on va très bien s’amuser tous les deux, il est de bonne humeur, j’ai envie d’oublier tous ce que j’ai en tête et par conséquent un bon amusement sera parfait pour nous deux.

Il me dit tout de suite qu’il prend une vérité et je me mets à réfléchir alors qu’il me dit d’y aller doucement car je risque d’être choquée. J’explose doucement de rire, sans pour autant bouger de son corps qui me calait avec confort, je passerai bien ma vie comme ca a vrai dire. Je tourne la tête pour lui dire.
« Tu sais, rien ne me choque surtout venant de toi maintenant que je connais ton vrai visage »

Je ris avant de reprendre ma grande réflexion et de finalement trouver une bonne question à lui poser tout simplement, elle est gentille et toute adorable, pour l’instant ne tatons pas le diable comme on dit. Je lui lance alors ma demande.
« Alors mon cher Peter, dis moi la première chose à laquelle tu as pensée la première fois que tu as vu Isis quand elle t’a été présenté comme ta partenaire, qu’a-tu penser au premier coup d’œil ? »

Afin qu’on rit un peu tous les deux, je lui ai proposé ce jeu que j’aime bien faire avec mes amis, car même si on sait se tenir, il y a toujours des petites choses loufoques qui s’en sortent et qui font beaucoup rire. Il est sur qu’on va bien s’amuser. Il me demande de demander une vérité, chose que je fais, quelque chose de bien sympathoche en un premier temps histoire de commencer gentiment, il faut avouer qu’il est bon de commencer avec des questions normales. Je l’écoute avec beaucoup d’attention en souriant avant d’hocher la tête à sa réponse.
« Oui elle me convient parfaitement et je trouve cela mignon que tu ai tout de suite compris que cela pourrait être fort entre vous, c’est même adorable. »

Je souris alors qu’il me masse un peu les épaules, j’avoue qu’il me détend en faisant ca, je me sens bien, je me sens à l’air, je souris et j’échappe même un soupir en laissant ma tête un peu en avant pour savourer le massage, même minime qu’il me fait, puis il me demande à son tour ce que je veux. Je souris en tournant la tête vers lui.
« Je vais aussi commencer par une vérité ? N’ai pas peur Peter, je peux répondre à tour et même si je ne réponds pas, j’aurai un gage. »

Je souris tendrement quand il réplique qu’il l’aime à la folie, j’embrasse sa joue avant d’attendre sa réponse, je ferme les yeux et profite un peu des bulles caressant ma peau, mais aussi du contact de Peter, il a toujours des gestes doux envers moi et j’aime beaucoup cela. Je me sens vraiment chouchouté par cet homme, comme une petite chose fragile a chérir de tout son cœur. Je n’ouvre à nouveau les yeux que lorsqu’il me pose cette question. Je tourne mon visage vers le sien, j’avoue être surprise sur le coup par sa question, d’un coté je suis étonnée qu’il pense à cela mais de l’autre, la façon de le dire me fit frissonner, il parlait l’heureux élu, ce qui a mes yeux veux dire que cela est un presque un honneur. Je regarde ses yeux et je fini par sourire doucement.
« Je pense qu’en effet, tu pourrais être celui-ci, tu es si gentil avec moi, si tendre, j’ai l’impression d’être une chose précieuse quand je suis avec toi et j’aime beaucoup cela, tu es le seul en qui j’ai confiance. »

Je caresse sa joue en souriant avant de me lover de nouveau complètement dans ses bras, faisant presque de moi-même en sorte que ses deux bras m’entoure, et je suis surprise moi-même d’avoir pu en conclure à une telle réponse, il y a encore quelques semaines, avant de vraiment rencontrer Peter, jamais je n’aurai pensé pouvoir un jour me laisser toucher par un homme. C’est mon tour, je dépose un léger bisou sur sa mâchoire avant de lui poser la question.
« A ton tour, action ou vérité ? »

Alors que je suis entrain de lui exposer mon point de vue si l’hypothèse qu’un jour je laisse un homme me toucher et que je lui répond positivement sur le faite qu’il pourrait être la personne avec qui je le fais, je sens quelque chose se durcir sous mes fesses, j’avoue être surprise avant de comprendre ce qu’il se passe et je souris avec amusement sans pour autant m’en aller, je reste blottit contre surtout quand il me dit que je suis vraiment une pierre précieuse ce qui me fit très chaud au cœur. Je me tourne juste assez pour pouvoir voir son visage et je pose ma main sur sa joue.
« Ce n’est pas grave, tu es un garçon et c’est normal d’avoir des réactions comme ca, tu sais, je ne t’en veux pas, je suis flatté de te faire autant d’effet »

Je ris et je fais un bisou sur sa joue avant de me replacer dos à lui et je réfléchis fortement à ce que je pourrais lui donner comme action vu que c’est cela qu’il me demandait. Je fini par trouver et je lui dis, me mordillant à lèvres.
« Montre moi Peter…Comment les hommes vous embrasser… »

Etonnamment, je ne me sentais pas tant gênée que cela, après tout, Peter est Peter, un homme que j’aime beaucoup et avec qui j’ai une intimité totalement découverte, il en a déjà tellement vu de moi, il m’a vue entièrement nue deux fois dont une où il m’a laver carrément alors on ne peut qu’être proche après de tels évènements. Il me demande si cela ne me faisait pas bizarre, tout doucement je secoue la tête pour lui dire que non avant d’argumenter ma réponse gestuelle.
« Etrangement, non cela ne me fait pas bizarre, enfin si un peu mais moins que je ne l’aurai penser, dans mes réflexions être sur les genoux de quelqu’un en dehors de mes papas qui me fait des papouilles, dans ma tête cela aurait déjà du me faire fuir, et habituellement je fuis comme une petite souris dès qu’un homme commence a vouloir être trop proche de moi. Avec toi c’est vraiment différent, au contraire, j’ai envie d’être toujours plus proche de toi, que tu me fasses toujours plus de câlins de bisous… »

Je dois avoir l’air d’une petite fille en lui disant tout cela, car j’avoue que moi-même je suis paumé, jamais je n’ai été aussi proche et intime avec un homme, en dehors de mes papas mais eux c’est normal, ils m’ont élevé donc ils ont du tout voir. Bref passons, je lui donne une action avec une bouille toute innocente, à vrai dire je voulais savoir si les hommes embrassent comme les femmes, car de Peter je n’ai eu que des smack et je voulais connaitre la sensation des vrais. Je me mets à rire quand il parle de sa virilité qui ne redescendra pas tout de suite.
Je le laisse faire au début je me sens un peu mal à l’aise par ma non habitude et surtout de penser que c’est un homme qui m’embrasse mais rapidement, je me détends et toutes mes appréhension s’envolent par sa douceur. Il recule ses lèvres, je le regarde droit dans les yeux avant qu’il ne recommence d’une toute autre façon qui il faut avouer m’emplit de frisson, la même sensation que lorsqu’Isis m’embrassait pendant que nous faisions la chose. Quand il recule, j’en ai le poil tout hérissé. Béni soit le faite d’être une femme permettant de cacher les réaction de son corps car oui, j’avais réagis, j’en avais même les joues toutes rouges.
« C’est très agréable comment tu embrasses…Le second…je…je me suis senti comme avec Isis l’autre jour quand on le faisait… »

j‘avais quasiment honte de le reconnaitre, car Peter est vraiment le seul homme avec qui j’ai de tel réaction, jamais un homme ne m’a fait réagir comme une femme. Je crois que Peter me fait le même effet qu’Isis. Je prends de l’eau dans mes mains et j’y plonge mon visage en passant mes mains sur mon visage pour me remettre un peu de mes émotions, allant jusqu'à mes cheveux, enfin l’arrière de ma tête avant de le regarder avec un léger sourire, essayant de reprendre quasi normalement le jeu.
« Je vais prendre une action moi aussi, soyons fou ! »

Je suis vraiment touché quand il me dit qu’il aime pouvoir m’avoir contre lui, me montrer toute son amitié et sa tendresse. Je dois avoué que j’adore cela moi aussi. Peter m’apporte une tendresse différente de celle de mes papas et c’est une chose dont j’avais vraiment besoin. Je vois en lui un véritable ami indispensable à ma vie à présent. Tout comme Isis, je ne peux pas imaginer un jour ne plus avoir le moindre contact avec elle, je l’apprécie beaucoup. Je lui souris et j’embrasse gentiment sa joue avant qu’on passe à son action qui me coupe en effet le souffle comme l’a fait précédemment sa femme lorsqu’on était allongée sur le canapé. Je souris les joues toutes rouges.
« Je dirais même plus que cela encore…C’est si…indescriptible vraiment… »

Mais n’y pensons plus sinon il risque de remarquer la réaction profonde de mon corps que je tente de cacher, il a beau être un homme qui réagit, je suis également une femme dont les réactions ne se font jamais attendre quand il y a vraiment un truc spécial. Quand il me dit mon action, je vire au rouge tout de suite. Je regarder sa chose sous l’eau troublée par les bulles. Je crois être restée immobile et silencieuse bien 5min, prise d’un tremblement assez puissant avant de fermer les yeux pour me détendre et sans pour autant rouvrir mes yeux, je tâtonne avec une certaine timidité le boxer et je sens cette chose très dur contre mes doigts, j’en frissonne sans vraiment savoir pourquoi, mes joues sont rouges vives, après avoir toucher je retire ma main et j’ouvre de nouveau les yeux que je pose sur Peter, avant d’enfouir de nouveau mon visage dans son cou comme une enfant.
« Ca ne te fait pas mal… ? Je veux dire…c’est si tendu…si dur… »

Je bredouille quelques bêtises encore avant de secouer un peu la tête et de finalement continuer le jeu.
« Action ou vérité ? »