Que serais-je devenue si vous n'avez pas été là || PETER

Je me sens vraiment bien en sa compagnie je n’ai pas besoin de porter un masque, juste à être Léo Lucci, la jeune femme pleine de vie qui aime rire et s’amuser, qui a de l’affection a donner encore et encore et Peter pourrait être une de ses personnes à qui je m’approche très facilement, enfin non, je suis déjà accrochée à lui, il m’a sauvé la vie alors je lui dois énormément.
« Je n’hésiterai pas Peter, je te promets, si j’ai besoin j’irais parler à ton épouse, elle est gentille elle. »

Je le tire avec moi et on se trouve assis sur le canapé et on parle avec sérieux de mon homosexualité, je lui explique un peu ce que j’en pense et lui me réponds son avis. J’aime cette communication entre nous. Naturellement ma tête se pose contre l’arrondi de son épaule comme une petite fille que je suis encore dans un certain sens.
« Oui surement, tu as sans doute raison mais je suis fière d’être ce que je suis, je sais qu’il y a des hommes doux mes papas le sont, toi aussi tu l’es, cela se sens et les femmes dur j’en connais aussi. En faite, je crois que c qu’il me plait c’est les femmes qui savent me maitrisé car je suis quelqu’un avec un certain caractère, assez active, et je dois t’avouer que la plus part des femmes avec qui j’ia eu une relation je me sentais comme le fauve qu’il faut dominé »

Je me mets a rire face à ma bêtise qui n’en est pas une car j’aime les femmes de caractère je crois qu’une femme qui n’essayerai pas de prendre le dessus sur moi n’attirerai même pas mon regard.

Je lui explique librement ma façon de voir les relations, je lui avoue que j’aime les femmes de caractère qui essayent de me dominer autant que je les domine en faite oui, je recherche une fauve autant que moi-même, car ce qui est intéressant c’est ce combat de lionne pour voir qui gagnera le corps de l’autre enfin vous voyez le genre de ce que je veux dire. Je ris doucement à ce qui me dit et je lui réponds.
« Tout a fait, je vois que tu me comprends, mais moi je dirais que c’est plus ta femme qui te domine qu’elle qui est dominé par toi ! »

Moi me moquer de lui ? pas du tout mais c’est juste qu’en voyant le caractère de sa femme, j’imagine mal Isis être la dominée la plus part du temps, je la vois comme la grande dominatrice de son couple et j’avoue que par moment cela me donne des frissons en voyant son coté autoritaire, mais chut. Je lève les yeux sans décoller ma joue de son épaule et je lui souris.
« Non, ils me laissent totale liberté, car ils savent que j’aime trainer dehors, à marcher des heures toutes seules sur les chemins pour réfléchir, ils s’inquiètent s’ils ne me voient pas au petit déjeuner. Mais je pense que je vais y aller, toutes ses émotions m’ont épuisée et il faut que je sois en forme pour la réunion d’avant fête pour qu’on soit tous calés pour le grand soir. »

Cette discussion sur le dominant dominé dans un couple était vraiment très intéressante à mon goût, jamais avec personne je n’ia eu une telle discussion, j’apprécie vraiment Peter car avec lui, je peux tout dire et c’est vraiment agréable, d’ailleurs j’écoute avec beaucoup d’attention tout ce qu’il me dit par rapport a leur couple, j’avoue les enviés un peu, ils ont l’air d’être le couple parfait, moi je n’ai jamais réussi à garder quelqu’un plus de deux nuits avant que la personne ne me disent que cela ne marchera pas qu’on y arrivera pas. Oui tel est la dure loin de ma vie.
« Tu as beaucoup de chance d’avoir trouver quelqu’un qui te complète ainsi, c’est fantastique vraiment. »

Je lui souris et je me fais raisonnable en lui disant que je vais rentrer, de toute manière je ne dois pas vivre bien loin de chez lui puisque les villas sont souvent dans le même quartier, enfaite j’en sais rien, on verra bien selon ce qu’il me dit quand je lui dirait l’adresse de la villa de mes parents. Je me lève en enfilant ma veste qui était quasi intacte de l’agression puisqu’elle était dans mon sac à dos. Et j’étais vêtu plus chaudement qu’une simple robe. Je remets mes chaussures et je souris à sa proposition, lui montrant bien évidemment mon accord, après tout, ce que je viens de vivre ne me donne pas envie d’y aller toute seule. Je l’attends alors sagement à la porte, une fois toutes mes affaires récupéré.
« Je te ramènerai la robe dès que possible, je te remercie encore du prêt et j’espère que ta femme ne t’en voudras pas… »

Je me rends compte d’un cou qu’on est entrain de parler de sexualité, chose que je n’ai jamais fais, même avec mes papas, comment parler de sexualité quand on est une fille et qu’on vit avec deux papas gays hein ? ceci est une bonne question. Ce que je sais sur le sexe, je l’ai appris via le net, via les copines qui racontent, via ses femmes que j’ai connu qui m’ont montrer ce que c’est l’amour entre femme, ce que c’est de se découvrir soi-même enfin vous voyez le genre. Je souris quand il me parle de sa femme. Je préfère ne rien rajouter, car sinon on repartirai sur un sujet dont on a déjà tellement parlé tous les deux.
Je lui fais par de ma crainte par rapporte à sa femme mais il me rassure tout de suite en me disant que si elle sait ce qui s’est passé elle comprendra et que même si ce n’est pas lui qui récupère la robe, je verrais bien qu’il avait raison. Je ne sais pas, je dois avouer que ma patronne m’a toujours impressionnée, après tout elle est de caractère et elle sait ce qu’elle veut donc forcément c’est étonnant et intimidant d’être devant elle.
Je me retrouve assez rapidement dans sa voiture, pendant tout le trajet je discute avec Peter, je ris de bon cœur, je fais un peu l’idiote juste pour amusée la galerie et rapidement il se gare, je retire ma ceinture, je récupère mon sac que j’avais posé à mes pieds, je regarde Peter et sans gêne je me penche et je smack sa joue tout bonnement.
« Passe une bonne nuit Peter, et merci de m’avoir ramené, jamais je ne pourrais te remercier assez malgré la chanson. Tu vraiment génial. »