Ne m'en veux pas.. -- PETER

Il m’avoue que lui aussi cela faisait bizarre et qu’il faut vraiment faire bien comme il faut sinon ca risque de finir en chatouille, je suis bien d’accord, le ventre est souvent sujet de chatouille. Je lui sourit jusqu’à qu’il arrête et qu’il me demande si j’ai envie de découvrir le massage des seins, étant curieuse de nature, forcément, l’envie ne se fait pas attendre et je lui réponds par la positive à sa proposition de massage. Je le laisse me retirer me haut de mon maillot de bain et je le fixe quelques secondes entrain de découvrir plus en profondeur mon anatomie, même s’il la connait déjà, m’ayant lavé l’autre soir au porte. Ses paroles me font plaisir. Je pose ma main sur l’arrière de sa tête et je caresse ses cheveux.
« Ca…il faudra lui demander mon cher, elle seule pourra te répondre la dessus… »

A vrai dire, ce jour là je n’avais pas forcément l’esprit à lui demander si elle aimant mon décolleté. Puis je sens sa main sur poser sur mon gauche, tout de suite je me mets à frissonner, surtout que je vois par leur nudité leur réaction qui ne se font pas attendre sous ses doigts. Je me mords la lèvre doucement et je murmure.
« C’est très agréable Peter…tu t’y prends vraiment à merveille… »

Je ris doucement alors qu’il parle de sa femme et du faite que quand je la revois et que j’y pense qu’il faut que je lui demande comme ca j’aurai la confirmation qu’il ne s’était pas tromper, je lui dis que j’essayerai d’y penser en la voyant. Je souris puis je le laisse prodigué le massage, au début c’était doux, j’en frissonnait mais sans plus jusqu’au moment où il commence à se faire plus insistant où tout mon corps réagit, j’en échappe même un soupire sourd mais trop tard il a déjà remarqué mes réaction et il s’en amuse. Alors que je grogne un peu, il me fait taire en me prenant les lèvres entre les siennes et il continue encore et encore. Naturellement mes jambes s’enroule autour de lui, mes bras se glisse autour de son dos et je réponds à chacun de ses baisers, mêlant ma langue à la sienne, l’une de mes mains quasiment agrippée à ses cheveux, sans le vouloir je l’attire encore et encore plus à chaque mouvement de son pouce autour de mon téton si dur.
« Peter… »

C’est le seul mot que ma gorge laisse échapper entre deux soupirs, je l’embrasse, encore et encore, l’incitant à ne pas s’arrêter, je deviens presque folle, il insistait là où il fallait pour me rendre totalement ivre de son massage. Je fini par abandonner ses lèvres pour pouvoir laisser ma tête se basculer en arrière dans un nouveau soupir.

Tout commence à déraper entre nous, je ne réfléchis plus, je laisse mon corps réagir au grès de ses gestes, je soupirs, je frisonnes, je l’embrasse encore et encore, allant jusqu’à mordiller sa lèvre de temps en temps. J’ignore pourquoi mais je le laisse faire, je n’ai pas envie de l’arrêter. Au bout d’un moment je sens le bas de mon maillot de bain échapper à mes jambes et je me rends compte que c’est Peter qui m’a déshabillé, glissant son doigts entre mes lèvres intimes, je me sens traversée par une violent frisson, j’ouvre lentement les yeux pour le fixer droit dans les yeux et j’entends ses paroles. Je garde le silences quelques secondes, hésitante, mais sa bouche sur mes mamelons et sa main me caressant. J’emprisonne son visage entre mes mains pour qu’il me regarde l’espace d’une seconde.
« J’ai confiance en toi…je n’ai que tu n’iras jamais trop loin… »

Pour appuyé mes paroles, je l’embrasse de nouveau en ouvrant l’ouverture de mes jambes un peu plus comme une invitation, je tremble oui car je me dis que c’est un homme qui me touche mais de l’autre, je me dis que c’est Peter, un vrai amour qui respect que je sois lesbienne et qui je sais s’en tiendra à ce que j’accepte d’une femme.

Je me retrouve totalement dépendante de ses gestes, il me rassure encore une fois en disant qu’il ne briserai jamais cette confiance qu’il a en moi. Je l’embrasse une dernière fois avant de le laisser reprendre en bouche mes seins tous tendus. Je bascule la tête en arrière en cambrant mon buste dans un léger gémissement, j’enfouie ma main dans ses cheveux, il ne faisait que me caresser l’entre jambe pour l’instant mais au bout de quelques minutes, je le sens glisser son doigts à l’intérieur de moi, je ne peux me retenir de me cambrer encore plus fort en lâchant un vrai gémissement que j’essaye de retenir en mordant ma lèvre de toutes mes forces, l’effet qu’il me procure m’oblige à écarter encore plus les cuisses, sentant mon humidité accroitre contre sa main, et je commence légèrement à me tortiller, caressant seulement ses cheveux pour l’instant. Dieu merci sa main est immobile pour l’instant, sinon je serai déjà devenu folle, il est doux et j’apprécie vraiment ca. Je ne peux garder les yeux ouvert plus longtemps, ma tête basculée en arrière.

Si on m’avait dit que je me retrouverai dans une telle situation avec Peter, je crois que j’aurai ris au nez de la personne et que je lui aurais dit clairement qu’elle est folle et que jamais elle ne ferai quoi que ce sois avec une homme, car seul le plaisir d’une femme me fait monter au rideau. Ne serai-ce que la compagnie d’un homme, on sait tout de suite quand on est attiré par les hommes et jusqu’à aujourd’hui, j’étais blasée face à un homme mais Peter m’a rendu folle, lui et uniquement lui.
Sentir ce qu’il me fait me rend folle, je n’ai vraiment pas l’impression d’être avec un homme et j’aime beaucoup ca, le faite qu’il se montre comme une femme avec moi, me fait oublié sa position d’homme. C’est ainsi depuis le début, il y a un quelque chose chez lui qui fait que je n’ai pas peur. Je me tord, je soupirs, je m’agrippe à lui jusqu’à l’entendre me dire qu’il me prévoit une surprise.
Sur le coup j’ignore ce que c’est mais je sens ses doigts se retirer mais je n’ai pas le temps de grogner de frustration qu’il a déjà coller son visage à mon intimité, la réaction ne se fait guère attendre, un gémissement étouffé s’échappe de mes lèvres alors que je bascule la tête en arrière. Mon bassin se dandine sous l’assaut de sa langue, je commence à chavirer, je le sens, ma main s’accroche à sa nuque comme pour me tenir pour ne pas basculer en arrière sous tous ce qui fait mouver mon corps sous les sensations qu’il me procure.

Chacun des gestes de Peter me mettent en transe, je me sens grimper à une vitesse folle, je ne m’attendais pas à ce qu’il en vienne là, a vrai dire plus, plus j’approche du bout, plus je me sens totalement chaviré, autant le corps que l’esprit. Je me tord, je gémis, je deviens folle mais alors que je me sens proche d’abandonné toutes mes forces à ce qu’il me fait, il se stoppe, je plonge mon regard dans le sien, j’ai les joues rouges, je suis à bout de souffle, je n’ai plus l’esprit bien clair et surtout je suis en attente de la fin. Je veux lui répondre mais il reprend.
« Oh Peter… »

Je me mords la lèvre de toutes mes forces sans me faire mal et je laisse mon bassin bouger au grès de ses coups de langue qui me fond encore et encore chavirer, je sens que cela ne fait que commencé.

Je dévore littéralement ses lèvres alors que je sens ses deux doigts bouger et rebouger au creux de moi, je deviens folle, je suis prise de violentes secousses sous le plaisir qu’il m’offre. Il est certain que lorsque j’aurai retrouver mes esprits, je me rendrais compte de ce que j’étais entrain de faire et je me mordrai les doigts et je retomberai dans un état de mal être profond jusqu’à qu’une personne réussisse à m’apaiser comme Peter l’avait fait lors de notre rencontre ici tout à l’heure.
Il me regarde alors que mes yeux ne peuvent trouver un point précis de regard car je suis au bord d’une pure extase. Je me sens au bord de l’explosion. J’entends la voix de Peter me dire combien je suis belle grimaçant de plaisir, je veux lui répondre mais je sens ce troisième doigts en moi et là ce fut le décollage après quelques secondes, je suis violemment secouée par l’orgasme qu’il me procure. Je pousse un dernier gémissement rauque, plantant sous le plaisir mes ongles dans son dos avant de me retrouvée haletante contre lui, le visage au creux de son cou, suante du plaisir qu’il m’a procurer, l’esprit envolé bien haut, peinant d’ailleurs à redescendre. Je reste accrocher à lui, de peur de m’écrouler dans l’eau par le manque de force dut à ce qu’il m’a procurer.
« Peter… »

Je met de très longues minutes à descendre mais rapidement je sens ses lèvres sur les mienne une fois que j’ai eu de nouveau mon bas de maillot de bain sur le corps. J’enroue mes bras autour de son cou et je réponds avec langoureusité à ce baiser avant de le sentir venir à mon oreille, a vrai dire je me mordille doucement la lèvre avant de lever les yeux, je vais pour répondre mais il rajoute des explications.
« Je…uhm…Oui..Peter…je…j’ai aimé..vraiment »

J’en ai honte à vrai dire je me maudis car a peine j’avoue que j’ai couché avec sa femme, je me laisse toucher par cet homme en qui j’ai entièrement confiance. J’attrape le haut de mon maillot de bain et je le remets, les mains toute tremblante, rouge comme une tomate par la honte et aussi par l’effet qu’il m’a fait qui n’a pas encore redescendu tout à fait, j’ai encore bien chaud.
« Je…je vais y aller…Il se fait tard… »