Petite pause entract -- PETER

La soirée commençait sur les chapeaux de roues entre la prestation avec les proprio et Jasmine, suivit des discours auxquels je n’ai pu participé car j’avais une lourde préparation physique à faire. J’engage les hostilités de la soirée avec deux de mes chansons, dont la première particulièrement hot et à caractère dominatrice par la choré, jouant avec une cravache, à un moment donné c’est Peter si fut visé avec un regard de braise, de dominatrice et une tatonnement de cravache sensuelle. Ma seconde chanson a été plus douce et plus sentimentale pour donner un peu de douceur aux amoureux. A la fin de ma prestation au piano, je quitte la scène mais apparait aux bord de l’entrée des coulisses à coté de la scène, souriant à Peter et lui faisant signe de me rejoindre en loge.
J’avais envie d’avoir ses jugements sur mes deux premières chansons, surtout qu’il semblait tout seul au milieu de la foule, tonton n’est en ligne de vue, ni Isis, Gaelle est je ne sais ou avec je ne sais qui, la connaissant rien ne m’intrigue et puis j’avais envie de le voir, je lui parler, d’avoir son jugement et je crois aussi de pouvoir me laisser aller a un peu de détente avant ma prochaine prestation qui n’est pas avant largement une heure voir plus étant donné que j’inaugure et je clore le spectacle avec deux chansons l’une après l’autre à chaque fois.
Je m’installe dans ma loge habituelle, je dois dire, quasiment privée étant donné qu’ici il n’y avait que moi qui y venais. J’attend gentiment Peter, prenant une gorgée du verre qu’on m’a apporter pour me désaltérer. Je commence doucement à me changer, prenant mon temps, après tout si Peter entre ce n’est pas grave, il m’a déjà vu entièrement nue. D’ailleurs, depuis notre dernière fois, j’ai énormément réfléchis et je me sens plus mûre qu’à ce moment là. Une fois nue, j’enfile une petite robe bleue pour me couvrir en attendant d’enfiler ma prochaine tenue qui sera encore plus sexy que la précédente. La porte s’ouvre enfin, je souris en attendant que mon invité apparaisse enfin.

Je me lève en le voyant entrer, je souris alors qu’il s’approche de moi et sans hésité j’enroule mes bras autour de son cou, m’y pendant presque en étant sur la pointe des pieds étant donné que je n’ai pas de chaussure tout court, je suis pied nue car j’avais besoin d’être un peu à l’aise. Il me félicite pour mes prestation et je ris de bon cœur quand il parle de la cravache. Je m’accroche à lui comme une petite fille.
« Merci Peter, en faite je voulais ton avis sur mes prestations, tu étais tout seul dans la pièce alors j’ai voulu te tenir compagnie et j’avais envie de faire quelque chose… »

Je souris en me mordant la lèvre avant de prendre doucement son visage entre mes mains et je l’attire doucement au mien et je l’embrasse vraiment, comme j’aime tant le faire depuis qu’on a commencer à le faire. Pas juste un baiser chaste, mais un vrai baiser divin, digne de tout ce que je ressens pour lui.
« Alors, dis moi ton ressenti par rapport à mes prestations, que ce sois celle avec les filles ou mes chansons, j’ai envie d’avoir tes avis…ils sont importants pour moi »

J’avais vraiment avant tout envie de l’embrasser, envie qu’il me prenne dans ses bras et qu’on parle comme on aime tellement faire depuis tout ce temps qu’on se connait. Je suis devenue accro à ses bras, à ses câlins, à ses baisers, à tous ses moments avec lui, j’aime tout bonnement ses instants qu’on passe ensemble. Il me donne alors son avis sur mes prestations et je les regarde avec mes yeux de biche innocente et le sourire quand il me réponds combien il avait adorer. Ca me fait très chaud au cœur, j’avais tenu a faire quelque chose à la hauteur de ma vengeance pour le coup qu’on m’a fait à la réunion de préparation. Je souris alors qu’il m’embrasse de nouveau.
« Je suis heureuse alors que cela t’es plus, j’ai tellement travaillé pour que ces prestations sois parfaite, je voulais que toi et Isis soyez fière de moi, et je vois ce que j’ai eu envie de voir dans tes yeux, alors je suis satisfaite… »

Je souris avant qu’il ne me demande ce dont je voulais faire. Je le pousse doucement jusqu’au sofa de ma loge pour qu’il s’y assois et je m’assois a qualifourchon sur ses genoux et l’enroule mes bras autour de son cou après avoir fait en sorte que ses bras m’entoure et se referme autour de moi et je me blottit.
« Je voulais que tu me prennes ainsi dans tes bras, que tu me fasses tous ses câlins venant de toi que j’adore, j’ai besoin d’un peu de ta tendresse… »

Je lui souris tendrement avant de caresser ses cheveux doucement et de venir l’embrasser avec énormément de douceur et de tendresse. Oui j’avais envie d’un moment douceur avec lui.

Etre avec Peter, c’est un vrai bonheur, avec lui je me sens à ma place, nos moments sont doux, tendre et si généreux. J’aime vraiment cela, c’est des instants donc je ne pouvais jamais me priver maintenant que j’y avais goûter avec délectation. Il me dit combien il est fier de moi, je lui souris avec émotion en l’embrasant de nouveau avant qu’il se retrouve assis a me câliner, je me blottit tout contre lui et je ferme un peu les yeux, respirant son odeur si généreuse que j’aime tant.
« C’est ce qui fait que je t’aime tant Peter, tu es toujours là pour moi quand j’ai besoin d’une épaule. »

Je souris avant de fermer les yeux quelques secondes jusqu’à qu’il me propose un massage, il sais que j’adore ca, puisque j’ai déjà craqué une fois avec lui suite à un massage. Je lui dis que j’en serai ravi, que j’aime ses massages et toussa, toussa. Je me redresse, pour autant dire, je m’assois à coté de lui, lui tournant le dos en passant mes cheveux par-dessus mon épaule.
« Epate moi encore une fois avec tes divins massages Peter. »

Il me dit que si c’est si bien entre nous, si doux c’est que c’est réciproque, car lui aussi il est bien avec moi, j’aime vraiment cette idée. Par la suite il me propose un massage et je me suis tout de suite placer, il m’annonce que je sais très bien qu’il va faire en sorte que ce sois meilleurs ou au moins aussi bien. Connaissant Peter, je sais qu’il saura s’occuper de moi comme personne. Mais ce à quoi je ne m’attendais pas c’est qu’il pose tout de suite sa main dans le creux de mon dos couvert seulement de ma robe bleue. Il me caresse le dos en me murmurant qu’il se rappelle très bien mes points sensible.
« C’est de la triche Peter… »

Je me mords la lèvre car je me mets déjà à frémir par cette simple caresse dans mon dos, non rectification, je grogne quasiment tellement c’est agréable, ma tête se bascule en avant et je me penche un peu comme pour courber mon dos et ma colonne dans mon dos pour mieux sentir son sois disant massage qui m’offre des sensation exquise, il le sait, il le sent et il en joue.

Peter avait le don de savoir me rendre totalement folle, c’est ainsi qu’il pose tout de suite ses mains dans le milieu de mon dos ce qui me provoque forcément des frissons et surtout des grognements, le fourbe me connait bien. Même plus que je ne me connais moi-même. Il me masse et je lui dis qu’il triche, finalement il rajoute avec malice que je fais tout pour l’inciter à continuer, d’un coté ce n’est pas faux mais c’est a cause de l’effet qu’il me fait. Mais finalement il reprends son sérieux et enfin s’en prend à mon cou. Je préfère cela car le milieu de mon dos aurai je pense rapidement fait dérapé les choses et je crois que c’est fait exprès de sa part, il me connait bien pou savoir ce qui me rend folle. Je me redresse enfin comme il faut et je soupire d’aise à son massage, fermant un peu les yeux et lui offrant mon cou.
« Hum…c’est très agréable dans le cou quand tu me masses, j’adore vraiment Peter. »

Peter avait le don de me rendre totalement folle, et c’est ce petit coté polisson en lui que j’aime beaucoup. Il passe du temps dans mon cou et je me laisse détendre totalement sous ses mains, c’est si agréable, j’aime tellement ca, c’est si bon, c’est si doux. Il vient au creux de mon oreille pou me dire qu’il aime autant que j’apprécie ses massages, rajoutant qu’il aime m’embrasser, me caresser intimement, depuis l’histoire avec le gode, entre nous c’est plus détendu, plus sensuel aussi, je n’ai plus peur que ca dérape ou non, au contraire, je suis presque la première à le tenter.
« J’aime que me fasse tout cela, de plus que tu es le seul homme qui a ce privilège »

Je souris en me mordant la lèvre alors qu’il lèche le lobe de mon oreille avant de me masser dans le dos ce qui me fait soupirer avant de me retourner un peu pour le regarder dans les yeux.
« Hum petit coquin, je te manque déjà, avoue le. »

Je souris un peu malicieuse, j’ignore si Peter a conscience que si j’enlève la robe, je me retrouve entièrement nue sous ses yeux. Je caresse sa joue en souriant avant de lui dérober un baiser et je lui murmure.
« La vue de mon corps nue te manque on dirait, avoue moi toutes tes envies mon petit Peter. »

J’écoute avec attention tout ce qu’il me dit, il me dit qu’il le sait plus que bien et qu’il ne l’oubliera jamais, qu’il sait tout ce qu’il est à mes yeux et qu’il me promet qu’on sera heureux encore bien longtemps. Je suis touchée par ce qu’il vient de me dire et je viens l’embrasser doucement, avec douceur, avec amour.
« J’espère de tout cœur qu’on sera très heureux aussi tous. J’aime ta présence, j’aime tout avec toi tout court. »

Il me masse un peu plus mon dos avant que je ne me retourne car il me dit tout m’avouer, je l’écoute le faire et je souris avant de me lever pendant son petit discours et lentement je retire ma robe me retrouvant absolument nue sous les yeux avant de me mordre la lèvre généreusement en m’approchant de lui et je me penche vers lui, posant mes mains sur ses genoux et je l’embrasse généreusement avant de me redresser un peu.
« J’espère que la vue te plait mon cher Peter, elle est à toi à cet instant cette vue rien que pour tes beaux yeux, profite en… »

On s’avoue combien on s’aime, cela est une évidence autant pour lui, que pour moi, je l’aime comme il aime sa femme, je l’aime comme j’aime isis, isis m’aime comme elle aime Peter. C’est un véritable bonheur d’être aimée par un homme comme Peter, si m’apporte tellement de chose, il me donne tellement d’amour que je ne peux qu’être comblée par ce qu’il m’offre à longueur de temps et de moment avec lui. Plus j’en passe, plus je l’aime, moins je le vois, plus il me manque et plus je ressens tous mes sentiments pour lui.
« Oui il nous faudra du temps mais je sais qu’on s’en sortira, je sais qu’on va réussir à faire en sorte que cette relation sois la plus belle possible, même si cela sera étrange au début. »

Je souris. Je suis heureuse, Peter me rend heureuse, savoir son amour pour moi me donne envie de lui en donner encore plus et ainsi de suite, c’est si beau entre nous, jamais je n’ai cru qu’un jour je pourrais m’accroché tellement à un couple marié, au point de les aimer de tout mon cœur éperdument. Je fini rapidement nue devant lui et je le laisse regarder à son bon plaisir en lui faisant avouer tout ce qu’il désire avant de lui dire d’en profiter car c’est une exclusivité du moment. Il fini par me dire qu’il le fait, et qu’il désire que j’en profite aussi, m’invitant à le déshabillé. Depuis notre histoire chez eux, tout à changer dans ma tête, je n’ai cessé de repenser à mes visions et encore maintenant. Je souris et me mord la lèvre avant de m’asseoir lentement sur ses genoux pour lui déshabiller le haut du corps bouton par bouton, ne me retenant pas de l’embrasser, de lui caresser le torse lentement, allant même jusqu’à y déposer de doux baisers sur la peau musclée de son torse alors que je suis entièrement nue sur lui.

Je suis heureuse avec Peter, vraiment, jamais je n’ai pensé qu’un homme pourrait m’apporter autant de bonheur, surtout qu’on est sur la même longueur d’onde depuis le début, pas une fois il ne m’a obliger à faire quelque chose que je ne voulais pas, pas une fois il n’a poussé le bouchon plus loin que mes propres limites, c’est toujours moi qui à fixer nos limites. J’aime vraiment les sentiments de bien être que je ressens avec lui. Il me dit qu’il est de mon avis et je me mets alors simplement à l’embrasser avant qu’il ne me pousse avec malice à le déshabiller ce que je commence naturellement à faire, en l’embrassant en le caressant. Je frissonne en le sentant aussi frissonner. Il me demande si cela me tarde de lui enlever le reste. Je me penche contre son torse, faisant en sorte que mes seins soient contre son torse et je lui dis d’une voix langoureuse alors que la chemise glisse le long de ses bras.
« L’impatience est un vilain défaut mon cher Peter »

Non je ne réponds pas à sa question mais c’est fait exprès, j’aime vraiment savoir que je le torture, il a fait de même avec moi l’autre jour. Je lui souris avant de l’embrasser très langoureusement, me frottant presque à lui avant de glisser ma main entre mes jambes pour défaire sa ceinture puis ouvrir son pantalon avant de me lever de ses genoux pour l’en débarrassé d’un grand geste fluide, il ne lui reste plus que son boxer, naturellement je m’accroupie dans l’ouverture de ses genoux, venant déposer des baisers sur ses abdos. Mes mains frôlent l’élastique du boxer alors que je lève mes yeux vers lui et que je le fixe avec un sourire malin.

Je fais ma toute polissonne là avec lui, je montre la petite Léo toute coquine qui aime jouer avec les sensations, c’est ainsi que petit à petit mes seins se sont collé à lui, s’y frottant presque avec générosité. Le frottement à le don de me faire durcir un peu par l’excitation de l’imaginer nu et surtout d’enfin voir un vrai sexe d’homme surtout que je sens que cela chatouille mon entre jambe. Il réponds à mes propos sur l’impatience, et j’en ris, sans répondre pour autant car j’aime le rendre un peu fou. C’est ainsi qu’il se retrouve sans pantalon avec juste le boxer, il m’encourage à conntinué mais ordonne presque un baiser avec passion. Je le regarde avec le sourire avant de me hisser jusqu’à son visage, remontant le long de son corps, frottant nos deux corps l’un contre l’autre avant d’empoigner son cou comme à mon habitude et de l’embrasser passionnément, langoureusement, fougueusement. Mêlant ma langue à la sienne comme jamais.
Pendant ce temps, je tente une première approche de ce rempart, j’abandonne l’élastique pour glisser ma main sur la bosse en elle-même et je commence lentement un tâtonnement, je dirais même que je malaxe, je suis hésitante, mais je le fais malgré tout, je tremble d’inquiétude de cette première tentative mais je ne m’arrête pas pour autant, je sens que ca durci contre ma main, autant avoué que toutes mes images lors de nos ébats l’autres jours me reviennent, encore plus forte, me provoquant une excitation folle incontrôlée. Mais je me calme un peu avant de me reculer pour retourner m’accroupir entre ses genoux et ma main abandonne la boule pour les élastiques avant de tirer lentement dessus pour libérer la bête sauvage de Peter.

Après tant de fois nue devant lui alors qu’il restait quasiment entièrement vêtu car j’avais peur d’être gênée, l’instant où je découvre entièrement son corps est enfin arrivé, j’en ai tellement rêvé, je l’ai tellement désiré dans mes rêves les plus fous. Le corps de l’homme à toujours été assez tabou pour moi, surtout qu’il est le premier homme que je regarde nu, d’habitude, en dehors de mes papas, la nudité masculine est une vraie découverte pour moi.
Rapidement Peter se retrouve tout aussi nu que moi alors que je regardait son membre si tendu sous mes yeux par l’excitation qu’on s’est procurer tous les deux. Il comprend tout de suite que je ne suis pas tout à fait à l’aise. Il commence à me parler avec sa douceur initial et il m’explique qu’il est prêt à me guider. Je souris doucement avant de répondre au baiser, me collant à lui tout autant qu’il me colle à lui. Malgré une longue hésitation, une main se glisse entre nous et fébrilement je frôle son membre de mes doigts avant de le caresser du bout des doigts lentement. N’osant pas encore le prendre à pleine main.

Les choses s’accélèrent doucement, on est l’un contre l’autre nus comme des vers, son membre tendu contre mon bas ventre et mon entre jambe déjà gonflée de désir bien que j’ai une peur monstrueuse au ventre de découvrir et de m’adapter à cette énorme chose qu’est son membre. Il sent tout de suite que je suis terrorisé, c’est ainsi qu’il prend sa main dans la mienne et qu’il me guide en lui demandant de le laisser faire. Chose que je fais. Je regarde avec attention ce qu’il fait avec ma main. Elle se retrouve sur le membre de Peter il fait en sorte que je l’astique doucement comme il faut avant de me laisser faire toute seule. Je le fais avec attention et lentement ce qu’il m’a montrer calmement. Je lève les yeux vers lui quand il me parle en me disant qu’il faut que je fasse ceci.
Je lève doucement les yeux vers lui, je le regarde puis je les repose sur son membre et je me concentre pour continuer avec un peu plus d’entrain, voulant lui offrir tout ce qu’il m’a donné lorsque j’étais chez lui, j’y vais un peu plus accentué.